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Terres Alimentaires

Portraits: #4 Kurt
Portraits: #4 Kurt
© Mieke Debruyne, 2020

Une production de nourriture saine dans un paysage résilient face au changement climatique.

Comment repenser l’interaction entre la politique foncière et l’utilisation des terres afin de créer davantage d’espace à destination d’une production alimentaire saine, rentable et abordable dans un paysage résistant au changement climatique ?

Pourquoi des Terres Alimentaire ?

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Portraits: #4 KurtÉleveur de bétail, Kurt est parvenu à mettre en place un certain nombre de collaborations gagnant-gagnant avec des organisations de protection de la nature et des producteurs de fruits dans le voisinage, en partant du principe que les pratiques agricoles font partie d’un paysage « multifonctions ».
Portraits: #4 Kurt

Pour atteindre ces objectifs, nous devons accumuler l’expertise, apprendre par l’action et accélérer le développement des pratiques. Qui nous rejoint ?

Plan d’action

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Les agriculteurs et les propriétaires fonciers unissent leurs forces afin de créer davantage d’espaces destinés aux aliments produits localement. Sept stratégies innovantes se présentent.

Chantier de construction

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1. Les particuliers et les agriculteurs unissent leurs forces pour créer des exploitations agricoles locales à l’épreuve du temps.

Si la demande en aliments locaux et sains est en pleine croissance, les consommateurs sont également de plus en plus enclins à contribuer à la production alimentaire locale. Tout comme les citoyens peuvent s’associer pour l’achat d’un réseau de chauffage de quartier destiné à leur consommation énergétique personnelle, ils peuvent également investir dans leur propre approvisionnement alimentaire. Investir dans l’alimentation signifie investir dans la terre et dans les agriculteurs et agricultrices ! Les citoyens s’unissent pour acquérir ensemble des terres afin d’y affecter un agriculteur. Grâce à cette association entre l’agriculteur/-trice et un groupe de particuliers qui endossent la casquette entrepreneuriale, les exploitations agricoles deviennent plus résilientes. La propriété partagée permet de supporter ensemble les joies et les peines sur le plan financier : il s’agit par exemple de tester une culture qui ne serait pas rentable sur le marché conventionnel, de partager les investissements destinés à l’expansion, mais aussi de compenser les pertes de récolte dues à une sécheresse persistante. L’agriculteur/-trice est soutenu(e) démocratiquement dans ses activités, peut compter sur un groupe d’actionnaires pendant les périodes de récolte intense et bénéficie d’une rémunération fixe. Les citoyens-entrepreneurs ont leur mot à dire quant aux plans de culture et aux aliments récoltés, garantissent la qualité de ce qu’ils consomment et font un investissement sûr. En résumé, les citoyens-entrepreneurs facilitent l’utilisation à long terme des terres consacrées à la production alimentaire, en collaboration avec les agriculteurs et agricultrices !

bouwstenen: Les Herenboeren
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2. Les agriculteurs et les propriétaires de zones naturelles unissent leurs forces pour une gestion efficace et productive des espaces verts.

Toutes les activités agricoles d’une exploitation ne doivent pas nécessairement se dérouler dans les limites de sa propre parcelle. Un nombre croissant d’agriculteurs investissent des zones naturelles en échange de la gestion de ces espaces verts. Certaines races de bovins et de moutons se trouvent être des ruminants idéaux pour gérer et protéger les pâtures naturelles ou les champs de bruyères arides. Grâce à ce système nomade organisé sur une surface plus large, les agriculteurs évitent le pâturage intensif, qui épuise le sol. Certains agriculteurs entretiennent aussi les bords de haies et récupèrent les déchets verts pour en faire du compost destiné à la culture de légumes. Ensemble, agriculteurs et défenseurs de la nature mettent en place des projets qui allient la conception des zones naturelles, la reforestation et la production alimentaire. Les propriétaires de zones naturelles ont l’avantage d’externaliser la gestion de ces espaces gratuitement. Les agriculteurs exploitent quant à eux une plus grande surface sans avoir à investir dans les terres, ce qui rend l’agriculture extensive à nouveau financièrement viable. En outre, l’utilisation des terres est garantie à long terme. Les zones agricoles et naturelles forment ensemble un paysage circulaire.

bouwstenen: Het Bolhuis
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3. Les agriculteurs et les détaillants unissent leurs forces pour promouvoir à grande échelle les aliments produits localement.

Nombreuses sont les chaînes de supermarchés souhaitant proposer davantage d’aliments locaux et biologiques. En s’associant, les agriculteurs et les grands détaillants ont toutes les cartes en main en vue de développer l’offre d’aliments produits localement en dehors du marché de niche. Grâce aux importants capitaux dont ils disposent et à leur impact à grande échelle, les détaillants ont la possibilité d’acquérir des terres et d’expérimenter le développement de chaînes biologiques locales ou régionales. Les agriculteurs et les agricultrices peuvent compter sur un acheteur garanti, et les détaillants les consultent afin de répondre à la demande du marché. En mettant en place un modèle viable et équitable pour l’agriculteur/-trice et l’acheteur, il est possible de consacrer une grande superficie de terres aux aliments produits localement et de construire l’infrastructure nécessaire à la relocalisation de la chaîne alimentaire.

bouwstenen: Het Zilverleen
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4. Les agriculteurs et les développeurs de projets unissent leurs forces en vue d’une gestion productive et à l’épreuve du climat de l’espace (semi-)public.

Les zones d’expansion résidentielle sur ou à proximité des terres agricoles compromettent souvent les activités agricoles. Mais que se passerait-il si la légitimité de la production alimentaire l’emportait sur celle du logement en certains endroits ? Ne pouvons-nous pas modifier l’affectation des terrains ? Ou au moins donner à l’agriculture la même importance et l’intégrer dans le développement des nouvelles zones résidentielles dès le départ, y compris dans des zones non agricoles ? Les pelouses arides et millimétrées font alors place à une activité agricole professionnelle et diversifiée, en harmonie avec la zone résidentielle. Jouer dans le jardin partagé consiste désormais à découvrir les insectes cachés dans le sol, à faire de la balançoire dans le champ de poireaux ou à donner un coup de main bienvenu pour la récolte. L’espace partagé devient un environnement sain et stimulant, dont l’air est pur, avec un effet d’îlot de chaleur urbain réduit et de nombreuses possibilités pour les pollinisateurs. L’agriculture permet de faciliter une conception de l’espace plus respectueuse du climat. L’agriculteur/-trice peut également vivre à proximité de son champ. L’aménagement d’un espace public productif offre aux agriculteurs et agricultrices un nouvel accès aux terres. Il constitue un levier pour la production d’aliments sains et bon marché, garantit la fertilité des sols et leur adaptation au climat, et renforce la cohésion sociale dans les zones résidentielles.

bouwstenen: Werve Hoef
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5. Les agriculteurs et les institutions de soins/CPAS unissent leurs forces pour atteindre des objectifs sociaux grâce à une nouvelle politique foncière.

De nombreuses institutions (semi-)publiques possèdent des terres agricoles grâce à des investissements de longue date ou des dons historiques. La décision d’acheter les produits destinés à la préparation des repas publics (dans les hôpitaux, les écoles, les CPAS, les administrations communales ou nationales) aux agriculteurs et agricultrices locaux leur donne accès à un marché de vente stable et donc à une sécurité d’existence. Les institutions publiques et semi-publiques sont à la fois propriétaires des terrains et acheteuses des produits, mais elles peuvent également utiliser leurs terres pour atteindre leurs propres objectifs. Les hôpitaux peuvent vouloir investir dans la production d’aliments pour les besoins diététiques spécifiques de leurs patients. Un CPAS pourrait mettre en place un projet socio-économique agricole axé sur la revalidation par l’emploi. Si plusieurs cuisines collectives reçoivent une partie de leurs volumes en coopérant directement avec des agriculteurs locaux, cela peut constituer un énorme levier pour garantir à ceux-ci un accès aux terres à long terme.

bouwstenen: AZ Zeno
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6. Les agriculteurs et les autorités locales unissent leurs forces pour créer un lieu destiné à l’entrepreneuriat autour de la production alimentaire locale.

Alors que le système alimentaire actuel, organisé à l’échelle mondiale, dispose d’un grand nombre d’infrastructures, telles que nos ports ou le réseau routier, les infrastructures de soutien destinées à l’agriculture locale ont disparu de nos paysages au cours des septante dernières années. Pensons notamment à l’accès aux forêts pour la collecte de matériaux organiques ou au transport de marchandises grâce à un véritable tramway agricole entre la ville et la campagne. Les terres et ressources publiques peuvent donner un réel coup de pouce aux agriculteurs locaux en phase de démarrage ou en reconversion. Il s’agit par exemple de mettre à leur disposition des terrains d’essai, de créer une infrastructure collective de compostage ou de traitement, ou encore de réorganiser les filières vertes et brunes. Les autorités locales, en raison de leur position foncière historique et de leur responsabilité sociale, détiennent les clés pour fournir un espace expérimental et innovant à la prochaine génération d’agriculteurs, en étroite collaboration avec les agriculteurs locaux. Ces « jeunes agriculteurs » peuvent également participer à l’atteinte des objectifs de durabilité dans le domaine de l’environnement, du travail ou des soins de santé.

bouwstenen: BoerenBruxselPaysans
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7. Les agriculteurs et les autorités unissent leurs forces pour réaménager le territoire en fonction d’une production alimentaire stratégique et locale.

Si nous voulons renforcer la production alimentaire locale, nous devons offrir aux agriculteurs une sécurité foncière à long terme. Grâce à une gestion foncière réfléchie, les autorités peuvent permettre aux agriculteurs entreprenants d’accéder à des terres adaptées à leur modèle économique et à leurs besoins. Nul besoin de créer de nouveaux sols (par exemple sur les toits) avec de la terre excavée provenant d’ailleurs ; nous devrions en revanche protéger les sols fertiles qui subsistent et les utiliser de manière plus stratégique. En raison du morcellement historique, de nombreuses zones d’expansion industrielle ou résidentielle sont situées sur des sols fertiles. De même, au sein des zones agricoles, il existe des terres arables qui seraient mieux exploitées en tant que prairies ou vice versa, si l’on tient compte du type de sol, de sa fertilité, de son emplacement, de sa pente, de l’accès au marché ou de la disponibilité de flux organiques. Après tout, la production alimentaire durable et à l’épreuve du climat ne peut prendre place partout et sous toutes ses formes. Ces derniers temps, le réaménagement du territoire a principalement servi aux expansions et au développement de la nature ou des infrastructures. Et si nous utilisions également ces outils pour réorganiser les paysages en fonction de la maximisation des terres consacrées à la production alimentaire locale ? Des instruments politiques tels que l’aménagement du territoire ou le remembrement peuvent être utilisés pour offrir des garanties foncières aux agriculteurs et agricultrices qui souhaitent s’engager dans une agriculture durable. Les observatoires fonciers, les fonds fonciers ou d’autres stratégies permettent de préserver à long terme les terres destinées à la production alimentaire et de maintenir le prix des terres sous contrôle.

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De nombreux agriculteurs et propriétaires fonciers sont déjà actifs dans des collaborations innovantes. Comment leur donner le vent en poupe et les multiplier afin d’obtenir un plan d'avenir abordable pour la production alimentaire ?

Découvrez la carte avec tous les Blocs de construction

Blocs de construction

blocks de construction

Het Bolhuis

Dans la ferme Het Bolhuis, la production de viande bovine et ovine va de pair avec la gestion des pâturages. La connexion entre la nature et l’agriculture est synonyme de biodiversité et de préservation de la qualité du sol. C’est là la base de la rentabilité du modèle économique en place.

BoerenBruxselPaysans

BoerenBruxselPaysans met des terres et des infrastructures publiques à disposition des agriculteurs débutants ou qui entament une transition vers une agriculture durable afin de leur offrir l’espace nécessaire pour expérimenter et innover. Le projet est un élément clé de la stratégie Good Food en Région Bruxelles-Capitale, qui vise à rendre une alimentation locale, saine et de qualité accessible à tous les Bruxellois au travers d’un espace urbain sain et de qualité. Des terres publiques aux abords de la ville laissent littéralement « le champ libre » pour l’entrepreneuriat en matière de production alimentaire locale.

De Landgenoten

De Landgenoten vise à protéger le sol à long terme pour la production alimentaire. Pour ce faire, l’organisation achète des terres agricoles grâce à l’argent de ses actionnaires et de ses donateurs ainsi qu’à des revenus plus ponctuels. « De Landgenoten » loue ensuite ces terres agricoles à des agriculteurs (bio) via des concessions qui s’étendent sur toute la période de leur activité.

AZ Zeno

L’ancienne ferme De Werve Hoef située à Wijnegem fait à nouveau office de ferme de proximité, grâce au développement d’un nouveau quartier résidentiel. De Werve Hoef rend accessible une agriculture en circuit court et permet au nouveau quartier de s’ancrer dans un paysage plus durable et plus productif. La création de nouveaux logements et l’agriculture ne doivent pas forcément s’exclure mutuellement.

Les Herenboeren

Une Herenboerderij, ou exploitation agri-citoyenne, permet aux consommateurs d’investir dans leur propre production alimentaire. Les agri-citoyens forment une coopérative afin d’acheter des terres ensemble ou de les louer. Ils font appel à un(e) agriculteur/-trice pour superviser l’exploitation et conviennent ensemble des aliments qui seront cultivés, ainsi que de la manière dont ils seront produits. L’exploitation agricole devient une entreprise citoyenne.

Het Zilverleen

Het Zilverleen est une ferme bio qui appartient à la chaîne de supermarchés Colruyt. Avec son rachat, Colruyt Group ancre l’offre en matière de légumes bio au niveau local pour ses propres supermarchés, et ce grâce à un modèle collaboratif innovant et durable, en coopération avec l’agriculteur/-trice bio.

Werve Hoef

L’ancienne ferme De Werve Hoef située à Wijnegem fait à nouveau office de ferme de proximité, grâce au développement d’un nouveau quartier résidentiel. De Werve Hoef rend accessible une agriculture en circuit court et permet au nouveau quartier de s’ancrer dans un paysage plus durable et plus productif. La création de nouveaux logements et l’agriculture ne doivent pas forcément s’exclure mutuellement.

Tuinen van Stene

Une nouvelle typologie de parc susceptible de stimuler une stratégie alimentaire urbaine

Ceci n’est pas une ferme

Une ferme polyvalente donne lieu à une nouvelle approche agricole dans la ville

3 Fonteinen

Une brasserie devient un banc d’essai pour la réintroduction d’une culture oubliée

House for Seasonal Neighbours

Créer un espace de rencontre dans la réalité temporaire des travailleurs saisonniers

Paddenbroek

Reconversion du patrimoine agricole en centre éducatif autour de l’alimentation et de la nature

Journal de bord

08.11.22
photo: Bob van Mol

© Bob van Mol
Au cours des derniers mois nos histoires de transformation n'ont pas seulement été racontées par nos guides humains. Le guide d'exposition vous a emmené à travers les préfigurations de nos infrastructures sociétales, de nos quartiers et de nos paysages.

Certains ont emporté une copie chez eux, à leurs collègues, à leur famille et à leurs amis. Les histoires sont maintenant prêtes à vivre leur propre vie. Consultez le guide par vous-même dès maintenant, laissez-vous emporter par les récits et laissez-vous surprendre par les projets sélectionnés.

Consultez le guide
28.05.21
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Comment organiser une nouvelle interaction entre la politique foncière et l’utilisation des terres afin de créer davantage d’espace à destination d’une production alimentaire saine, rentable et abordable dans un paysage résistant au changement climatique ?
Différents acteurs expérimentent avec des coalitions innovantes qui mettent l’accent sur l’utilisation des terres plutôt que sur la propriété. Certains agriculteurs gèrent des zones naturelles en échange d’une utilisation partagée ; d’autres s’associent avec des citoyens afin d’effectuer un achat groupé de terrains, ou bien cultivent des terres appartenant aux acheteurs.  Dans un souci d’intérêt collectif, ces initiatives créent de l’espace destiné à la production alimentaire en combinant les intérêts des propriétaires ayant des avoirs fonciers stratégiques et ceux des agriculteurs qui ne disposent d’aucune terre. Dans quelles conditions ces nouvelles sortes de coalitions sont-elles possibles ? Qui est déjà prêt à s’engager et parfois, pourquoi pas ? Quelles sont les coalitions les plus stratégiques, et comment pouvons-nous les multiplier ?

Une conversatio avec historien Tim Soens (UAntwerpen), fermier bio Kurt Sannen (Het Bolhuis), conseillère paysage et patrimoine Shera van den Wittenboer (Collège des Conseillers Gouvernementaux, Pays-Bas) et Joachim Declerck (Architecture Workroom Brussels) pendant la Great Transformation Session – Food Parks: Promising Land Use Coalitions (Jeudi Mai 27 2021).

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26.05.21
Le programme d’investissement « Parcs alimentaires » est axé sur de nouveaux types de coopération entre les agriculteurs sans garantie foncière et les propriétaires fonciers. Quels sont les cadres d’accord spécifiques et fructueux ? Quels sont les échanges qui ont eu lieu ? Et quelles sont les contributions des gouvernements, des citoyens et des organisations connexes ?
26.05.21
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De grands défis et d’ambitieux projets gravitent autour de nous. Mais comment dépasser les analyses et les intentions « sur le papier » afin de concrétiser des changements structurels et qualitatifs dans nos quartiers, notre société et notre économie ? Comment parvenir à nous évader ensemble ?
Le 20 mai, nous lançions La Grande Rénovation 2020-2030, un environnement d’apprentissage indépendant, incubateur et programme public. Des citoyens entreprenants, des autorités, des entreprises, des investisseurs, des scientifiques et des organisations contribuent à la réalisation de percées et de projets concrets. En mobilisant conception et imagination, nous formons des coalitions et établissons des chantiers stratégiques que nous pourrons réaliser massivement d’ici à 2030.

Quels sont l’indignation et l'engagement partagé qui sous-tendent La Grande Rénovation ? Nous lançons une plateforme en ligne dans laquelle nous rassemblons des pratiques innovantes qui forment les Blocs de construction nécessaires à la réalisation des Lieux d'avenir et des Portraits décrivant les transitions à hauteur d’œil. Nous réfléchissons afin de déterminer comment procéder.

Une conversation avec Koen Schoors (UGent/federale participatiemaatschappij FPIM), Griet Celen (VLM), Mieke Debruyne (Woestijnvis), Floris Alkemade (Maître Architecte des Pays-Bas) et Joachim Declerck (Architecture Workroom Brussels) sur l'espace de travail (en ligne) de La Grande Rénovation.
26.05.21
Cette présentation exposera le pourquoi et le comment du programme d’investissement des Parcs alimentaires. Ce document a servi de base aux premières discussions avec les différents acteurs.
31.03.21
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Portraits: #3 YannickCultureghem défend une approche fondamentalement sociale de l’alimentation pour les citadins, avec une idée centrale simple : l’accès à une alimentation saine et abordable pour tous. Sous la houlette de Yannick, l’organisation contribue à la création d’un espace public dynamique dans l’un des quartiers les plus densément peuplés de Bruxelles.
Cultureghem défend une approche fondamentalement sociale de l’alimentation pour les citadins, avec une idée centrale simple : l’accès à une alimentation saine et abordable pour tous. Sous la houlette de Yannick, l’organisation contribue à la création d’un espace public dynamique dans l’un des quartiers les plus densément peuplés de Bruxelles.
31.03.21
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Portraits: #1 RonyRonny, agriculteur en CSA, explique comment le modèle de la Community Supported Agriculture lui offre des revenus garantis dès le début de la saison des récoltes : ses clients particuliers paient une cotisation et partagent donc les risques avec lui. Toutefois, les prix exorbitants des terrains en périphérie urbaine restent un obstacle majeur pour les agriculteurs débutants, quel que soit le modèle de revenus.
Rony, agriculteur en CSA, explique comment le modèle de la Community Supported Agriculture lui offre des revenus garantis dès le début de la saison des récoltes : ses clients particuliers paient une cotisation et partagent donc les risques avec lui. Toutefois, les prix exorbitants des terrains en périphérie urbaine restent un obstacle majeur pour les agriculteurs débutants, quel que soit le modèle de revenus.
31.03.21
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Portraits: #4 KurtÉleveur de bétail, Kurt est parvenu à mettre en place un certain nombre de collaborations gagnant-gagnant avec des organisations de protection de la nature et des producteurs de fruits dans le voisinage, en partant du principe que les pratiques agricoles font partie d’un paysage « multifonctions ».
Éleveur de bétail, Kurt est parvenu à mettre en place un certain nombre de collaborations gagnant-gagnant avec des organisations de protection de la nature et des producteurs de fruits dans le voisinage, en partant du principe que les pratiques agricoles font partie d’un paysage « multifonctions ».

Liste de lecture

Sitopia

Livre
Chatto & Windus
Carolyn Steel
Publication
Nyéléni Europe and Central Asia platform for Food Sovereigty
Collective document coordinated by European Coordination Via Campesina (ECVC), Terre de Liens, URGENCI, Eco Ruralis, the International Federation of Organic Agriculture Movements (IFOAM-EU), Real Farming Trust (RFT) and Transnational Institute (TNI), to which many allies and other organisations have contributed. It was produced as part of the Erasmus + partnership on Innovative Land Strategies.
Livre
Les Greniers d'Abondance
Projet collectif porté par les membres de l’association Les Greniers d’Abondance et coordonné par Félix Lallemand et Arthur Grimonpont
Video
Apache
Berber Verpoest

Taking the country's side

Livre
Polígrafa and Trienal de Arquitectura de Lisboa
Sébastien Marot
Video
Pano
Greet Pluymers, Katrien Kubben, Bavo Delbaere
Publication
ILVO
ILVO & Team Vlaams Bouwmeester

Hungry city

Livre
Chatto & Windus
Carolyn Steel